Une écologie qui dérange les cadres habituels et qui ne se contente pas de dénoncer le réchauffement climatique. Ce sont les communistes du Front de Gauche (Richard, Félicie, Jean-Jacques et André) qui sont allé tracté hier matin à Toulon pour informer les jeunes universitaires des dangers qu'encourt notre planète.
Les gens commencent à nous reconnaître sur ce sujet que nous n'avons jamais lâché, parce que nous sommes conscient que les trusts qui gouvernent notre monde sont en train de le dévaster.
Nous disons qu'il faut changer de cadre le plus vite possible, celui de ce qu'ils appellent "l'économie de marché" et à la quelle nous opposons une "économie de solidarité".
Une économie qui ne soient plus géré par la finance et les banquiers mais par les hommes et les femmes qui ont le sens de l'intérêt général et du "mieux vivre ensemble".
Une économie du partage pour tous, pour lutter contre toutes les inégalités qui sévissent sur notre planète et que nous entendons protéger contre les rapaces de la finance.
Une économie qui ne soit plus synonyme de l'aliénation de l'homme par l'homme, mais une économie au service des humains, pour ne plus avoir d'esclavage du travail par les patrons racailles.
Je sens bien qu'il nous faudra encore expliquer que nous sommes les plus nombreux à adhérer aux thèses de cette écologie solidaire, mais qu'il faudra un jour en avoir conscience avec le poids des mots et le choc des images.
André Nicolas Citoyen du monde
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